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L’IHRDA célèbre aujourd’hui un jalon important. Plus de 10.000 personnes ont visité l’Outil Analytique de la Jurisprudence Africaine des Droits Humains depuis son lancement le 8 Novembre 2010. L’Analyseur de jurisprudence offre l’accès le plus exhaustif aux décisions de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, en anglais et en français.

Ces 11 derniers mois, l’Analyseur de jurisprudence a été visité 18 922 fois, et ces visites provenaient de 159 pays ou territoires. 7289 visites venaient d’Afrique, 7181 d’Europe, 3056 du continent américain, et le reste d’Asie et d’Océanie. Ces visites ont utilisé 72 langues différentes et ont été réalisées par 53,30% de nouveaux visiteurs, et par 46,70% de visiteurs qui revenaient.

L’IHRDA, ainsi que nos partenaires HURIDOCS, est honoré par la régularité avec laquelle les chercheurs reviennent à l’Analyseur de jurisprudence, par la croissance constante de nouvelles visites et par le temps passé à visiter l’analyseur (une moyenne de 7 minutes). Cela témoigne de la qualité de l’information disponible sur l’Analyseur de jurisprudence, et de son accessibilité.

La facilité de recherche de l’Analyseur est confirmée par la diversité des origines des visites, qu’il s’agisse des sources de trafic, des langues ou  des territoires.

La croissance de l’Analyseur n’a été rendue possible que grâce aux commentaires et aux critiques de ceux qui l’ont visité. En cette date très spéciale, non seulement nous vous remercions, mais nous réitérons que nous accueillons chaleureusement vos commentaires, critiques, plaintes et  notifications d’erreurs sur le système, ce, afin nous aider à améliorer encore plus l’accès à la collection multilingue la plus complète de la jurisprudence africaine des droits humains.

Contexte

L’Outil Analytique de la Jurisprudence Africaine des Droits Humains (OAJ) est un projet conjoint de Institute for Human Rights and Development in Africa(IHRDA) et Human Rights Information and Documentation Systems (HURIDOCS). Son objectif principal est de promouvoir les droits humains en Afrique en comblant le manque d’informations concernant le système africain des droits de l’homme, via l’utilisation des systèmes d’informations les plus intuitifs et favorables à la recherche ; et ce, afin de fournir un accès gratuit à la collection multilingue la plus complète de la jurisprudence africaine des droits humains.

Fonctions de l’ Outil Analytique de la Jurisprudence

L’OAJ va au-delà la simple énumération de la jurisprudence, et offre des outils efficaces pour une analyse de haute qualité. L’OAJ est inégalé en ce qui concerne les innovations facilitant la recherche, parmi lesquelles:

• la mise en lumière de la jurisprudence primaire afin d’aider l’utilisateur non initié à trouver facilement l’information pertinente;
• le calcul automatique du rang jurisprudentiel de chaque décision à travers le calcul du nombre de citations;
• une expérience de navigation aisée;
• la capacité pour le chercheur de lire simultanément une décision, le texte de toutes les lois ainsi que les autorités de la jurisprudence qu’elle cite, par le chargement de tous ces textes dans le même volet de lecture. Nous appelons cela le « chargement en ligne »;
• la faculté pour les chercheurs de sauver leurs recherches en synchronisant et en maintenant leur propre compte privé, tout comme sur Yahoo ou Gmail. Grâce à ce compte personnel, les chercheurs peuvent mettre dans leur liste des favoris, les décisions intéressantes et les paragraphes, et les annoter avec des commentaires privés ou publics.
L’OAJ a été lancé le 8 Novembre 2010 à Banjul, en Gambie, au Forum des ONG précédant la 48ème session ordinaire de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CmADHP) par la présidente de la CAmDHP, Me Reine Alapini-Gansou, en présence de défenseurs des droits humains ainsi que d’un membre de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, le juge El Hadji Guissé.

Plus tard, au milieu de 2011, IHRDA et HURIDOCS ont commencé à apporter des améliorations à l’OAJ. Ces améliorations comprennent:

• la refonte de la présentation de l’OAJ afin d’exposer davantage ses fonctions uniques (telles que les commentaires et les comptes personnels de recherches);
• l’harmonisation des duplications (comme la fusion des deux moteurs de recherche que l’OAJ avait auparavant);
• la présentation plus efficace l’énorme stock de méta-données de l’OAJ sur la jurisprudence, désormais disponible sur la colonne de droite de la page de recherche;
• la mise en évidence de la liste des mots-clés;
• l’ajout de résumés de cas pour améliorer la facilité d’utilisation pour les chercheurs;
• l’ajout de graphiques de cas. Ces derniers constituent une fonction unique exceptionnelle qui permet aux chercheurs de visualiser dans un graphique simple à appréhender, toute l’étendue des liens de citation d’une décision particulière. Nous espérons que cette représentation visuelle de l’histoire jurisprudentielle va réanimer l’étude de la jurisprudence africaine des droits humains;
• l’ajout d’un service très pratique de retour d’information qui permet aux visiteurs du site de discuter directement avec un membre de notre personnel de soutien à la recherche. Lorsque le personnel est déconnecté, le service de retour de l’information nous enverra un email avec vos commentaires.
Le travail sur l’OAJ est en cours et nous accueillons chaleureusement vos commentaires, critiques, plaintes et notifications d’erreurs sur le système que nous nous efforcerons de corriger dès que possible.

Recueil de toute la jurisprudence africaine des droits humains

En 2012 Nous allons travailler a élargir la couverture de l’OAJ afin d’inclure cinq (5) autres organes supra-nationaux traitant des plaintes en matière de droits humains en Afrique:

• la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CAfDHP),
• le Comité africain d’experts sur les droits et le bien-être de l’enfant (CAEDBE)
• le Tribunal de la Communauté de développement d’Afrique australe,
• la Cour de Justice d’Afrique de l’Est, et
• la Cour de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest.
Toute la jurisprudence d’Afrique sera intégrée dans un système aisément inter-navigable qui permettra aux chercheurs de comparer la jurisprudence dans l’ensemble de ces instances judiciaires.

En outre, bien que le portugais soit la langue officielle de six pays africains, la disponibilité en portugais de la jurisprudence africaine des droits humains de l’UA, de la CEDEAO et de la SADC, reste faible. La CAmDHP n’a rendu disponible en portugais que 10 de ses 183 décisions. Les 5 autres organes de droits humains n’ont également aucune de leur jurisprudence en portugais. L’ajout d’une version portugaise de l’OAJ, redresserait nettement ce déséquilibre.
L’IHRDA célèbre aujourd’hui un jalon important. Plus de 10.000 personnes ont visité l’Outil Analytique de la Jurisprudence Africaine des Droits Humains depuis son lancement le 8 Novembre 2010. L’Analyseur de jurisprudence offre l’accès le plus exhaustif aux décisions de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, en anglais et en français.

Ces 11 derniers mois, l’Analyseur de jurisprudence a été visité 18 922 fois, et ces visites provenaient de 159 pays ou territoires. 7289 visites venaient d’Afrique, 7181 d’Europe, 3056 du continent américain, et le reste d’Asie et d’Océanie. Ces visites ont utilisé 72 langues différentes et ont été réalisées par 53,30% de nouveaux visiteurs, et par 46,70% de visiteurs qui revenaient.

L’IHRDA, ainsi que nos partenaires HURIDOCS, est honoré par la régularité avec laquelle les chercheurs reviennent à l’Analyseur de jurisprudence, par la croissance constante de nouvelles visites et par le temps passé à visiter l’analyseur (une moyenne de 7 minutes). Cela témoigne de la qualité de l’information disponible sur l’Analyseur de jurisprudence, et de son accessibilité.

La facilité de recherche de l’Analyseur est confirmée par la diversité des origines des visites, qu’il s’agisse des sources de trafic, des langues ou  des territoires.

La croissance de l’Analyseur n’a été rendue possible que grâce aux commentaires et aux critiques de ceux qui l’ont visité. En cette date très spéciale, non seulement nous vous remercions, mais nous réitérons que nous accueillons chaleureusement vos commentaires, critiques, plaintes et  notifications d’erreurs sur le système, ce, afin nous aider à améliorer encore plus l’accès à la collection multilingue la plus complète de la jurisprudence africaine des droits humains.

Contexte

L’Outil Analytique de la Jurisprudence Africaine des Droits Humains (OAJ) est un projet conjoint de Institute for Human Rights and Development in Africa(IHRDA) et Human Rights Information and Documentation Systems (HURIDOCS). Son objectif principal est de promouvoir les droits humains en Afrique en comblant le manque d’informations concernant le système africain des droits de l’homme, via l’utilisation des systèmes d’informations les plus intuitifs et favorables à la recherche ; et ce, afin de fournir un accès gratuit à la collection multilingue la plus complète de la jurisprudence africaine des droits humains.

Fonctions de l’ Outil Analytique de la Jurisprudence

L’OAJ va au-delà la simple énumération de la jurisprudence, et offre des outils efficaces pour une analyse de haute qualité. L’OAJ est inégalé en ce qui concerne les innovations facilitant la recherche, parmi lesquelles:

• la mise en lumière de la jurisprudence primaire afin d’aider l’utilisateur non initié à trouver facilement l’information pertinente;
• le calcul automatique du rang jurisprudentiel de chaque décision à travers le calcul du nombre de citations;
• une expérience de navigation aisée;
• la capacité pour le chercheur de lire simultanément une décision, le texte de toutes les lois ainsi que les autorités de la jurisprudence qu’elle cite, par le chargement de tous ces textes dans le même volet de lecture. Nous appelons cela le « chargement en ligne »;
• la faculté pour les chercheurs de sauver leurs recherches en synchronisant et en maintenant leur propre compte privé, tout comme sur Yahoo ou Gmail. Grâce à ce compte personnel, les chercheurs peuvent mettre dans leur liste des favoris, les décisions intéressantes et les paragraphes, et les annoter avec des commentaires privés ou publics.
L’OAJ a été lancé le 8 Novembre 2010 à Banjul, en Gambie, au Forum des ONG précédant la 48ème session ordinaire de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CmADHP) par la présidente de la CAmDHP, Me Reine Alapini-Gansou, en présence de défenseurs des droits humains ainsi que d’un membre de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, le juge El Hadji Guissé.

Plus tard, au milieu de 2011, IHRDA et HURIDOCS ont commencé à apporter des améliorations à l’OAJ. Ces améliorations comprennent:

• la refonte de la présentation de l’OAJ afin d’exposer davantage ses fonctions uniques (telles que les commentaires et les comptes personnels de recherches);
• l’harmonisation des duplications (comme la fusion des deux moteurs de recherche que l’OAJ avait auparavant);
• la présentation plus efficace l’énorme stock de méta-données de l’OAJ sur la jurisprudence, désormais disponible sur la colonne de droite de la page de recherche;
• la mise en évidence de la liste des mots-clés;
• l’ajout de résumés de cas pour améliorer la facilité d’utilisation pour les chercheurs;
• l’ajout de graphiques de cas. Ces derniers constituent une fonction unique exceptionnelle qui permet aux chercheurs de visualiser dans un graphique simple à appréhender, toute l’étendue des liens de citation d’une décision particulière. Nous espérons que cette représentation visuelle de l’histoire jurisprudentielle va réanimer l’étude de la jurisprudence africaine des droits humains;
• l’ajout d’un service très pratique de retour d’information qui permet aux visiteurs du site de discuter directement avec un membre de notre personnel de soutien à la recherche. Lorsque le personnel est déconnecté, le service de retour de l’information nous enverra un email avec vos commentaires.
Le travail sur l’OAJ est en cours et nous accueillons chaleureusement vos commentaires, critiques, plaintes et notifications d’erreurs sur le système que nous nous efforcerons de corriger dès que possible.

Recueil de toute la jurisprudence africaine des droits humains

En 2012 Nous allons travailler a élargir la couverture de l’OAJ afin d’inclure cinq (5) autres organes supra-nationaux traitant des plaintes en matière de droits humains en Afrique:

• la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CAfDHP),
• le Comité africain d’experts sur les droits et le bien-être de l’enfant (CAEDBE)
• le Tribunal de la Communauté de développement d’Afrique australe,
• la Cour de Justice d’Afrique de l’Est, et
• la Cour de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest.
Toute la jurisprudence d’Afrique sera intégrée dans un système aisément inter-navigable qui permettra aux chercheurs de comparer la jurisprudence dans l’ensemble de ces instances judiciaires.

En outre, bien que le portugais soit la langue officielle de six pays africains, la disponibilité en portugais de la jurisprudence africaine des droits humains de l’UA, de la CEDEAO et de la SADC, reste faible. La CAmDHP n’a rendu disponible en portugais que 10 de ses 183 décisions. Les 5 autres organes de droits humains n’ont également aucune de leur jurisprudence en portugais. L’ajout d’une version portugaise de l’OAJ, redresserait nettement ce déséquilibre.